Géobiologie
La Géobiologie, kézako ?
GEO (« terre ») – BIOLOGIE (« science du vivant ») : étude de l’influence de la Terre, et, plus largement, de l’environnement sur tout ce qui vit (homme, animal, plante ).
Les influences (subtiles ou non) où nous sommes immergés sont innombrables : formes, proportions, couleurs, odeurs, bruits, rayonnements (naturels ou non), mémoires, personnes, plantes, énergies diverses, intentions… et, pour pimenter la chose, ces influences sont susceptibles de varier dans le temps (ponctuellement, cycliquement, selon le moment de la journée, la saison,…), en intensité, polarité, présence,..
Les anciens connaissaient (grâce à l’intuition, l’observation, le ressenti, des connaissances perdues (???),…) des endroits remarquables pour l’intensité de leur champ vibratoire, leurs propriétés bénéfiques (ou pas) particulières, endroits nommés « Hauts Lieux Vibratoires » par les radiesthésistes. Souvent, dans nos contrées, ces HLV ont servi successivement de lieu de culte pour les celtes, puis pour les romains (temple, lieu de cure), et enfin pour l’église, qui associe volontiers des noms de saints aux propriétés « thérapeutiques » de l’endroit : Ste Odile (yeux), Ste Appoline (dents),…
Ainsi, nous baignons dans un océan d’influences (« énergies ») multiples, mais ne sommes sensibles, par résonance, qu’à certaines, très variablement suivant la personne, et selon le moment.
Pour bien vivre, nous avons besoin d’un EQUILIBRE vibratoire à tous les niveaux (haut / bas, différents corps, cosmique / tellurique, cellulaire,…). Tout ce qui perturbe cet équilibre a des conséquences, positives ou négatives (avec inter-actions entre les différents niveaux). Les influences négatives ne créent pas la maladie, mais le stress engendré exacerbe certaines prédispositions pathologiques, de même qu’une alimentation déséquilibrée, et/ou un conflit psychologique (malaise, peur,…).
La mission reconnue du géobiologue est donc d’intervenir sur les endroits où nous stationnons longuement (lieu de travail, maison, chambre,…) afin de déterminer les zones favorables, ou les défavorables, et d’éventuellement corriger l’influence de ces dernières.
Géobiologie "chamanique" : et si, pour plus de facilités et de résultats, on ajoutait un éclairage supplémentaire, un paradigme plus "horizontal" ? Et si on travaillait en collaboration avec les esprits du lieu, des plantes,... avec respect, gratitude et humilité...
Préalables incontournables
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Quelques pistes
a) Qu'allons nous « mesurer » ?
Avant tout, il faut définir précisément ce que l'on recherche :